Source: ripostelaique.com
Quand on lit attentivement le livre, signé de Samuel Laurent (Samuel Laurent « Al-Qaïda en France » éd. Seuil. Révélations sur ces réseaux prêts à frapper. 2014. 426 pages) on se prend à douter de l’optimisme des imbéciles heureux de gauche qui regardent ailleurs pour voir l’état de la France, et ainsi se rassurer à bon compte tout en ménageant leur lâchetè.
Avec cet ouvrage nous sont données un certain nombre d’informations et de considérations propres à nous faire mieux apprécier la situation « d’avant-guerre » bien réelle en face de laquelle nos dirigeants semblent, au mieux s’être assoupis où pire l’entretenir.
Pour Samuel Laurent, «, nos services de Renseignement ronronnent comme n’importe quelle bureaucratie française, et il y voit une cause : “la technologie rend nos espions paresseux, elle leur fait perdre de vue l’essentiel : le courage et l’efficacité… ” et il propose un remède : “si des agents décidaient d’infiltrer al-Qaïda il deviendrait certainement possible d’agir”.
Nous devons impérativement prendre conscience du danger que représentent les petits ensembles apparemment sans liens, que nous appelons salafiste ou djihadiste. Le péril, en effet, ne se limite pas aux territoires dits “du califat” entre Irak et Syrie. Il s’agit bien plutôt des retombées de leurs conflits sur le sol européen, à commencer par celui de l’Hexagone.
Les volontaires islamistes en effet proclament : “Après la révolution, on viendra en France. On égorgera les Français pour ce qu’ils font au Mali.”
Ceux qui les recyclent pour ce combat précisent : “Le Jihad que nous préparons aura lieu en France. Pour nous ce pays ne représente pas un adversaire à combattre, mais une terre à conquérir”.
Les services officiels français évaluent à plusieurs centaines, peut-être 700, les combattants partis de France, en toute légalité apparente, pour mener la guerre sainte. Des combattants et une guerre sainte que le président
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